J’aime pas les patates
Je t’écoute comme on mange des chips, parce qu’elles sont là.
Ici on dit encore qu’on ne peut plus rien dire. Et moi j’écoute ?
Allez, j’arrête, je vole, je décale la fenêtre d’Overton :
« Conservatistes dont l’idéologie gangrène la société, arrêtez de nous empêcher, nous bâillonner.
L’autre jour je disais à un jeune homme qu’il m’avait mansplainé et voilà qu’il dément, il m’explique que nan. Vous vous rendez compte ? Alors si on ne peut plus dire qu’on est mansplainées je ne sais pas ce qui nous reste ! Dites-moi ! »
Texte de Caroline Dubikajtis